mercredi 20 avril 2016

"André Vassiliévitch Kovrine, agrégé de philosophie, était fatigué, il se sentait les nerfs un peu malades."



Évidemment, on peut lire Le Moine Noir d’Anton Tchekhov pour connaître la suite. 

Mais il est plus plaisant de savoir ce que les participants de l’atelier de lundi en ont pensé.

Les écrits véhiculant l’âme russe et les mots gorgés de vodka sont visibles en cliquant sur votre gauche « un regard sur les ateliers d’écriture ».

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