Évidemment,
on peut lire Le Moine Noir d’Anton Tchekhov pour
connaître la suite.
Mais il est plus plaisant de savoir ce que les participants de l’atelier de lundi en ont pensé.
Les écrits véhiculant l’âme russe et les mots gorgés de vodka sont visibles en cliquant sur votre gauche « un regard sur les ateliers d’écriture ».
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