gourmandise


 

Il se sait le plus grand critique gastronomique du monde, celui qui a fait et défait les réputations culinaires les plus importantes. Son ami médecin lui annonce que son cœur va le lâcher avant quarante-huit heures. Plus rien ne lui importe, que de retrouver la saveur oubliée « qui lui trotte dans le cœur » depuis l'enfance ou l'adolescence, la « vérité première et ultime » de sa vie. La révélation finale risque de bouleverser bien des convictions.

 

 

 


 

1556, François, étudiant en médecine à Montpellier n'a qu'une idée en tête : devenir cuisinier. Aux dissections, il préfère l'étude du safran, cardamome, gingembre, macis et autre maniguette sous la houlette de l'apothicaire Laurent Catalan. Mais une série de morts suspectes sème le trouble dans la ville. François et son ami Félix mènent l'enquête. Elle les conduit à Bologne sur la piste de dangereuses plantes récemment arrivées des Amériques. « Un roman noir et gastronomique aux temps de la Renaissance »

 

 


L'histoire pas comme les autres de mademoiselle Aïssatou, Parisienne pure black, en proie aux tourments de l'amour. Comment séduire un homme et, peut-être, le garder ? La belle va prouver qu'en la matière, elle est un vrai cordon bleu... Un récit tendre et pittoresque, émaillé de recettes très, très pimentées.

 

 

 

 

 


 

Babette est une Française devenue domestique en Norvège, après la Commune qui l'a contrainte à l'exil. Ses patronnes sont deux vieilles filles austères. Le jour où elle gagne dix mille francs or à une loterie, elle leur demande de la laisser préparer un dîner fin, dans la grande tradition française. Sa fortune y passe, mais une soirée aura effacé des années de carême.

 

 

 

 


Une femme seule prépare des seiches farcies pour ses invités du soir. Et cuisiner, c'est tout un art. L'art de recevoir, d'offrir, de se mettre en scène et de séduire. Cuisiner c'est sentir, toucher, goûter. Et c'est aussi se plonger dans ses souvenirs d'enfance, ses désirs ou ses peurs... La nostalgie a parfois un goût d'huile d'olive et de confiture de tomates vertes. Un récit pur et poétique, qui se savoure tout doucement.

 

 

 

 


Avec ce merveilleux petit texte à l'humour ravageur, Fellag passe au tamis ethnologique, linguistique, géo-politique, psychanalytique, les peuples de la zone couscous.

 

 

 

 

 

 

 


« Comment s’inculquent le bon et le mauvais, l’authentique et le faux, le “mangeable” et “l’immangeable”, comment doit-on faire honneur à une table et comment, aussi, s’apprend, après l’abondance, la privation ? Mon grand-père Victor était cuisinier, artisan exemplaire, véritable artiste à son insu. Avec lui, notre ordinaire devenait exceptionnel. Ma mère se mit en quatre toute sa vie pour être à la hauteur. Mon père jouait au gastronome distancié mais à cheval sur les principes, et moi, je faisais sans vergogne le “petit difficile”. Tels étaient les principaux rôles de cette comédie de la sainte table et de la communion. » 

 

 

Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d'un chagrin d'amour. Elle revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque, et découvre ses dons insoupçonnés dans l'art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière. Elle invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies. Un livre lumineux sur le partage et le don, à savourer comme cette cuisine dont l'épice secrète est l'amour.

 

 

un magnifique livre pour voyager et passer à la pratique :


 

Superbe livre de recettes, issu de la rencontre entre Yotam Ottolenghi et Sami Tamimi, rencontre culinaire juive et palestinienne.  Chaque auteur nous livre ses souvenirs en lien avec chaque recette qu'il présente, son histoire, nous faisant ainsi voyager, et pas seulement avec les papilles!
Les photos illustrent parfaitement ce voyage culturel et gastronomique, et donnent envie de créer chaque recette.

 

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